Le Café de Paris

Nous sommes en plein Second Empire. En face du Café de Paris, une foule joyeuse et bon enfant se promène, par un bel après-midi d'été. Deux élégants en voiture découverte démontrent leur maîtrise d'un cheval fringant qui risquerait bien de s'emballer si ses œillères ne l'empêchaient de paniquer.
Il est possible de commander un encadrement pour la lithographie si besoin (coût additionnel à prévoir).

Cette évocation du Second Empire cherche à retrouver un état d'esprit d'insouciance et de légèreté plus qu'à restituer une réalité historique. C'est ce qui rend cette composition si joyeuse et pleine de légèreté. Les bicornes des gendarmes sont d'un jaune peu historique mais renvoient gaiement le soleil d'été, la jeune fille porte ses jupes un peu trop courtes pour l'époque mais, quelle importance et sa mère est si séduisante dans sa veste rouge. C'est ce constant décalage entre un passé évanoui et une composition rêvée qui donne à cette œuvre tout son charme.