La lumière provençale éblouit tous les peintres qui la regardent. Elle hante leurs tableaux. Même lorsqu’il n'y a pas de ciel dans le tableau, on sait qu'on est en Provence, comme dans ce tableau d'Edith Alder À la terrasse d'un café.  
Du vert pastel au rose poudré, les couleurs du printemps habillent les tableaux.
Vous voulez mettre en valeur un espace tout en longueur. La surface vide au-dessus d'un canapé trois places ou au-dessus d'un buffet, ne vous satisfait pas. Votre long couloir vous paraît trop austère ? Explorez cette thématique : vous y trouverez plusieurs solutions pour apporter une touche originale à votre intérieur.
Pour faire qu'un simple collage devienne un tableau, que faut-il à l'artiste ? S'il s'appelle Miguel Angel Reyes, il lui faut du sable, du bois et des fils de couleur. S'il s'appelle François Poyet, c'est le polystyrène qui va l'inspirer. Henri Guibal préfère le papier mâché, qu'il assemble et gouache. Janie van de Driessche découpe ses photographies en losanges avant de les coller. Mais Jeanne Socquet les réduit en petits fragments qu'elle va perdre au milieu de papiers déchirés. Jean-Claude Faucon peint des triangles de carton qu'il assemble, Madeleine Lambert se sert de grands lambeaux de papier japonais. Le collage c'est cela, la multiplicité de l'inspiration, la liberté du matériau au service de l'imaginaire du peintre.
Un tourbillon de couleurs pour illuminer la grisaille urbaine. Des formes abstraites pour laisser courir l'imagination.
Pavés luisants, ruelles étroites, escaliers audacieux se déploient sous l’œil bienveillant du Sacré-Cœur. Montmartre, c’est un lieu enchanteur, c’est un esprit de quartier atypique au milieu de cette grande ville parfois intimidante qu’est Paris. Et surtout ce sont des peintres originaux et attachants.
Hannah Ben Dov est une artiste peintre qui travaille en profondeur la peinture monochrome. Ses tableaux aux couches innombrables pourraient sembler uniformes. Pourtant ils vibrent de mille et une teintes changeantes au cours de la journée et des variations de la lumière.  
"Tout vient du noir et se perd dans le blanc." disait le mathématicien Louis-Bertrand Castel. Malgré l'omniprésence de la couleur dans notre quotidien, de nombreux artistes choisissent de s'exprimer en noir et blanc, pour l'intensité des rendus et la sobriété des effets.
"La montagne est déconcertante. Son paysage est plissé et secret. Les mots et les habitudes butent sur le passage des cols", comme le dit Jason Goodwin. Les peintres en ont saisi les plis et les replis. Ils ont invité la montagne dans leurs œuvres, Ils en ont fait le portrait et l'ont rêvée, parfois jusqu'à l'abstraction.
La mythique suite Vollard, réalisée par Picasso pour le marchand d'art Ambroise Vollard, n'a été tirée qu'à moins de 300 exemplaires. La popularité de ces planches a amené Picasso a autoriser la reprise de ses œuvres en lithographie. Les Atamanes ont sélectionné des œuvres appartenant à deux de ces rééditions : celle non signée de 1956 et celle de 1973 certifiée par la Spadem.
Qu'est-ce qui est vraiment réel ? Notre univers quotidien ? Ou ce monde de réalités fantastiques qui se déploient derrière le voile de la banalité et que seul l'artiste peut percevoir ? Visions magiques ou surréelles, les œuvres des peintres du réalisme fantastique nous embarquent dans un voyage onirique et évocateur.
Peindre des triptyques, est-ce bien contemporain ? Notre siècle est bien loin des panneaux religieux du Moyen-Age et pourtant, l'Art contemporain s'est emparé de ce genre ancestral. Il le renouvelle. Il y ajoute gaîté, rythme et couleur. Pour l'artiste contemporain, le triptyque est devenu incontournable. Quelle richesse, que de pouvoir créer trois tableaux en un ! Quel émerveillement, pour le spectateur/regardeur de pouvoir contempler d'un seul regard trois façons d'exprimer la même chose.
Musique et peinture semblent à première vue ne pas avoir de point commun. Mais de nombreux artistes, tant les peintres que les musiciens, ont tissé des correspondances entre ces deux arts. Indéniablement, ils s'enrichissent l'un l'autre et, pour les peintres, la peinture est un inépuisable sujet d'inspiration, comme le montre notre sélection.
La lithographie est un procédé artistique qui permet de créer des œuvres originales multiples. L'artiste utilise une pierre calcaire au grain très fin pour reproduire son œuvre en de nombreux exemplaires. Moins onéreuse que la gravure sur cuivre, beaucoup plus souple et fidèle dans le rendu des couleurs, la lithographie a ajouté une nouvelle dimension à la création artistique.
Une pomme, quoi de plus simple qu'une pomme ? Et un verre, une pipe ou un compotier peuvent-ils être autre chose que les compagnons d'une vie bien quotidienne ? Sous le regard d'un peintre, ils deviennent témoignage d'éternité.
Sous le terme Judaïca, les ventes publiques ne présentaient d'abord que des objets. Ce terme a fait maintenant son chemin en peinture et sous ce terme on présente tous les peintres qui sont liés à la culture juive. Venez les découvrir dans notre sélection.
De grands à très grands, voire très très grands, voici une sélection de tableaux dont la taille et la couleur ne laissent pas indifférent(e).    
Michel Ciry est un personnage fascinant. C'est un artiste aux multiples métiers : graveur, illustrateur, écrivain, peintre, musicien. Ses œuvres expriment les préoccupations d'une âme tournée vers la transcendance et la recherche du sacré dans la nature.  
Un paysage, ce sont des arbres, des champs et des bois. C'est la nature, la mer ou la ville. Mais lorsqu'il s'agit de le peindre, un artiste doit réduire ce qu'il observe en une série de formes et de volumes colorés qu'il va transposer sur une toile. Les peintres abstraits ont adopté une tout autre démarche. Ils ont décidé de s'abstraire de la réalité en ne pensant qu'en formes et volumes colorés. Mais les cerveaux des peintres sont pleins des lacs de champs et des forêts qu'ils côtoient dans leur vie quotidienne. Alors, ces formes, ces volumes, croyez-vous qu'ils ont pu les tirer de nulle part ? Ce qui devait arriver arriva : la naissance du paysagisme abstrait.
Le petit format est une forme d'expression à part. Créée selon des codes qui lui sont propres, il apporte sérénité et raffinement à un intérieur.
Qu’est-ce qui inspire les artistes qui peignent les oiseaux ? La liberté de l’envol, le rêve des paysages découverts par les airs, la symbolique de l’amour ou de la paix. 
Les œuvres d'art ne sont pas réservées aux musées prestigieux, ni aux collectionneurs fortunés. Nous avons tous la possibilité de trouver l'art qui correspond à nos désirs sans pour autant trop débourser. Les Atamanes vous proposent une sélection d'œuvres à prix légers.  
Être un artiste naïf, c'est peindre comme on respire. Cette démarche artistique laisse de côté toutes les règles de l'art officiel pour partir à la recherche de son âme d’enfant. L’art naïf ne laisse jamais indifférent. Il éveille en nous des échos d'enfance, d'insouciance et de grands élans pour nous faire oublier d'être raisonnable.
L'abstraction géométrique est une des toutes premières formes de l'abstraction. Une association internationale nommée Abstraction-Création regroupe les artistes majeurs de cette tendance entre 1931 et 1936. Certaines de leurs œuvres légendaires ont été rééditées en 1973 dans un portfolio mythique par Max Bill, un des derniers survivants de cette grande période. Nous avons pu rassembler quelques-unes de ces planches et vous les présenter.
Paris bruisse et vit, à Montmartre comme dans les beaux quartiers, en 1915. Son activité persiste malgré la terrible guerre de tranchées se déroulant sur la Meuse. Pierre Chaux, en peintre amoureux de sa capitale, nous la dépeint en couleur comme en lavis d'encre de Chine, avec sa touche rapide et éclatante.
André Margat aime les animaux. Il aime leurs attitudes, leur naturel, leur vérité. Mais André Margat est aussi un styliste. Ses animaux sont mis en scène pour exalter leur beauté. Ils sont idéalisés afin de nous faire rêver à cette Nature dont nous sommes si loin.
Faut-il vraiment qu'une porte soit ouverte ou fermée ? Il faut, surtout, qu'une porte soit peinte. Et avec les portes, toutes les fenêtres qui, dans les tableaux, ouvrent toujours sur on ne sait quelle étrange perspective. Les portes et fenêtres dans une œuvre d'art, ce sont des ouvertures sur l'ailleurs, sur ce qui ne figure pas dans le tableau mais que le spectateur peut quand même regarder. C'est une promesse d'air pur et de liberté.
Paul Almasy est un grand photographe dont les images ont été publiées dans les plus importants journaux français. Les oncles, pères, fils et neveux de la famille Vagh-Weinmann ont acheté leurs couleurs et leurs pinceaux chez les marchands de couleur de Montparnasse. Ils sont devenus des piliers de la première école de Paris. Arpad Samos Talbor a exposé ses toiles dans les galeries d'art parisiennes. Ces artistes qui sont venus déployer leur talent en France avaient tous un point commun : ils étaient hongrois.
Le cheval, animal racé et puissant a toujours inspiré les peintres. Voici quelques exemples d'œuvres qui exaltent l'image de ces précieux compagnons.
Le monde du spectacle, bigarré et chatoyant, inspire les artistes. Le peindre, c'est restituer une atmosphère euphorisante, qui donne de la joie de vivre aux spectateurs. Et c'est aussi s'attaquer au grand défi de reproduire le mouvement des arlequins, pierrots ou acrobates sur le support de la toile qui reste, lui, figé par nature. La palette de couleurs du cirque donne une grande liberté aux artistes : dans l'explosion et le contraste de ces couleurs réside tout le plaisir de la Fête.
Nombreux sont ceux qui recherchent des planches originales de BD pour les collectionner. L'aspect émotionnel lié à l'enfance pourrait certes expliquer cet enthousiasme. Mais ce serait réducteur. La Bande Dessinée est vraiment un art nouveau. C'est la vraie raison de la passion qu'elle inspire. Les dessins, toujours d'une extrême qualité, possèdent une originalité propre à ce moyen d'expression. Tout est permis, du réalisme extrême au "p'tit crobard" déifié par Pilote. La structure des images agencées par accolement successif donne un rythme pulsatile. L'interaction entre le texte et le dessin se fait au moyen de structures géométriques qui interviennent visuellement en contraste avec les motifs. Il n'a pas de doute : la BD, c'est du Grand Art.
Ah que j'aime les militaires, avec leurs casques et leurs plumets. Offenbach n'est pas le seul à entonner ce refrain. Les peintres les aiment aussi, ces vaillants soldats. Les chevaux fringants, les uniformes de parade font de merveilleux sujets. Ils démontrent la virtuosité de l'artiste. Ils séduisent le spectateur/regardeur. Mais que vienne la guerre et les tableaux savent aussi parler désolation...  
Les "Elégantes" ont fait tourner bien des têtes et battre bien des cœurs. Quelle que soit l'époque, les artistes ont essayé de capturer cette essence de la séduction.
Bip, un haut-de-forme cabossé sur la tête, une marinière rayée en guise de maillot, est un mime qui porte son cœur en bandoulière. Il a connu une carrière internationale. C'est lui qui a inventé le fameuse moonwalk de Michael Jackson. Il est LE MIME du XXème siècle, le poète du geste et du corps. Découvrez-le sur ces photos qui lui ont appartenu.
Pouvoir voyager d’un continent à l’autre, est devenu moins facile en ce monde de post-pandémie. Pour satisfaire notre besoin de voyage, nous avons eu envie de vous transporter à travers les siècles. Nous vous proposons ici des œuvres d’art sélectionnées par grandes périodes.
Cette sélection d'illustrations de presse dresse un panorama du talent des dessinateurs et des peintres publiés dans la presse de 1880 à 1949. Le dessin d'humour y est roi, suivi de près par le reportage dessiné. Nous avons sélectionné toutes les catégories de publications, de la presse quotidienne aux luxueuses revues sur papier glacé, sans oublier les publications satiriques hebdomadaires. Ce sont tous des originaux à l'encre, au crayon ou à l'aquarelle, avec une seule exception. Noblesse oblige, ce sont les éditions lithographiques de Toulouse-Lautrec dans Le Rire.
Paris et ses monuments, Paris et ses habitants sont d'inépuisables réservoirs d'inspiration pour les peintres. Les quartiers pittoresques, tels Montmartre ou Montparnasse ont toujours fait rêver les artistes : le Moulin Rouge fait tourner ses ailes et le café du Dôme abrite les dramaturges et les poètes. Mais Paris, c'est aussi la Tour Eifel et les sculptures du Palais de Chaillot, les pauvres gens photographiés au détour d'une rue. Pour un peintre, représenter Paris, c'est se frotter aux plus grands, c'est aborder le mythe.
La chaussure, cet accessoire, est loin d'être futile. Peut-être certains la pensent terriblement ancrée dans un quotidien trivial. Mais il n'en est rien : la chaussure est poésie, fétiche, parfois même allégorie historique et inspire de nombreux artistes contemporains.    
Peindre un corps de femme, pour un artiste peintre, c'est pratiquer l'excellence de son art. Rien n'est plus complexe à peindre que la nudité. Ce sujet sollicite le talent des artistes à l'extrême. Notre sélection prouve combien les peintres ressentent le nu féminin de manière intense, et savent restituer leur expérience de manières multiples et changeantes.
L'arbre, seul ou pris dans un ensemble forestier, est un thème que tous les peintres, de toutes les époques, ont abordé dans leur carrière. Même dans l'œuvre des plus géométriques des peintres abstraits, Mondrian par exemple, on trouve une période de la vie de l'artiste où il a éprouvé le besoin de peindre des arbres. Car l'arbre, cette vie ancrée entre le ciel et la terre fascine l'homme qui rêve de s'approprier sa longévité, sa force et sa tranquillité.
Les œuvres sur papier ont un côté tactile, accessible au contact. Ces dessins font toucher du doigt le velouté du pastel, la finesse du tracé de pierre noire ou du crayon, la subtilité du contraste de la sanguine et du fusain et, bien sûr, le grain du papier. Sur le papier, les artistes libèrent la diversité de leur inspiration : portraits, paysages et scènes de vie.
Au XVIIIème siècle, les gravures provoquent un véritable engouement. On s'invite dans les campagnes autour des dernières gravures reçues. L'on prend des abonnements auprès des éditeurs pour ne pas manquer les dernières parutions. On découvre les panoramas du monde entier en projetant au mur les vues d'optique. Les meilleurs artistes et jusqu'aux plus grands scientifiques, tous déployaient leurs talents de graveur.
Deux facettes du monde oriental ont fasciné les artistes : le fantasme et la réalité. Bien entendu, les deux notions s'interpénètrent. Les peintres que l'on nomme "orientalistes" rêvent un Orient mythique et peignent des paysages bien réels. Et les contes orientaux, pour faire rêver, n'ont-ils pas eux aussi une base de réalité ?
Le théâtre était autrefois l'art éphémère par excellence. Une fois la représentation finie, la pièce ne vivait plus que dans nos mémoires. Mais la photographie est arrivée, portant avec elle sa magie protectrice du temps. Maintenant, chaque spectacle est conservé en photographie. Maintenant, nous pouvons garder en images, grâce au génie des photographes de théâtre, un peu de la griserie qui nous a habités l'espace de quelques heures.
« Dans un grain de sable voir un monde, dans chaque fleur des champs le Paradis » disait le peintre britannique William Blake. Nombreux sont les artistes et les botanistes qui l'ont pris au mot et ont cherché à retranscrire la perfection de la Nature sur papier ou en gravure. Observant la couleur, les formes et les détails minutieux des plantes, ils se sont passionnés pour la représentation des fleurs et de la végétation.  
Crânes et vanités ont pour but de donner plus de saveur à la vie quand on les regarde. Ils appellent à une réflexion sur la transcendance, l'énergie spirituelle propre à tout être humain.  
Venir peindre à Paris, pour un peintre japonais, c'est une aventure qui met en jeu toute sa conception de l'existence. Les œuvres qui en sont le fruit sont intenses et captivantes. Les dessins surréalistes de Ruytchi Souzouki déploient un humour grinçant, L'abstraction de Yasse Tabuchi vibre de couleur. Akiko Arita nous offre ses visions poétiques et Toshio Matsuda transcrit la violence de la Ville.
Plutôt brûler Paris que de rendre la ville ! Voilà le mot d'ordre qui retentit en mai 1871 au sein de la Commune de Paris. Les incendies embrasent bientôt la ville, laissant derrière eux des ruines calcinées. Ce sont ces ruines que les photographes immortalisèrent, parfois encore fumantes, parfois déjà lavées par les orages de septembre. Voici une sélection de leurs œuvres.  
Les univers du théâtre et du music-hall sont des lieux grisants pour les artistes. Leurs aspects féeriques et magiques, à la fois hors du temps et si réels, sont une mine pour l'inspiration.  
C'est avec une grande acuité que'Alberto Ibanez capture les visages de ses compatriotes mexicains, Il dresse le portrait d'une société complexe, avec ses dérives comme ses beautés. Paris aussi est un de ses sujets préférés. Ibanez voit la capitale avec une clairvoyance inusitée et beaucoup de tendresse.