Le petit tableau au XIXème a un format qui correspond à un nouveau mode de vie. Il reflète aussi l'évolution de la façon de peindre.
Rêve de voyage, fascination de la mer, admiration pour le monde des marins et de leurs vaisseaux : les peintres peignent les navires avec passion, depuis les grandes commandes de l'Ancien Régime jusqu'aux simples barques de pêcheurs.
Aline Gagnaire (1911-1997) est une artiste surréaliste, puis, toujours dans l'esprit surréaliste, lettriste et oupeinpienne. Elle prend part aux explorations artistiques majeures du XXème siècle.
Napoléon Bonaparte fut aimé autant qu'il fut haï. Les soldats qui l'adulaient le nommaient le Petit Caporal, car l'Empereur préférait porter sur le champ de bataille la capote du sous-officier aux uniformes chamarrés des généraux d'Etat-major. Les partisans de la monarchie capétienne voyaient en lui l'Ogre de Corse, qui dévorait le pays et ses habitants. C'est ainsi que naissent les plus grandes légendes, de l'amour et de la haine conjugués.
Formé à la vision géométrique du BauHaus, Robert-Jean Chapuis enserre ses modèles dans un cadre rigoureux. Il met en valeur les lignes strictes et épurées de la mode des années soixante grâce à une composition formelle exigeante, portée par des références aux avant-gardes de l'entre-deux-guerres.
Peindre, c’est écrire en image. Mais à l’inverse, ces lettres avec lesquelles nous écrivons, le peintre peut-il les peindre ? Peut-on peindre avec et par des lettres ? Peut-on envisager de peindre l’esprit d’une lettre ? Plus encore, peut-on représenter sur un tableau l’essence du Signe ? Oui, répondent avec enthousiasme les artistes du mouvement Lettriste.
Gondoles et canaux, masques et dominos : les artistes ont construit le mythe de Venise. Leurs interprétations et leurs regards multiples mettent en lumière les différentes facettes de la Cité des Eaux.
Madi, c’est la joie, la liberté, le mouvement. Madi, c’est la libération des carcans, Madi, c’est le plaisir de regarder autrement.
La relation entre Homme et Animaux se réinvente au cours des siècles. Comment inspire-t-elle les artistes ? Quel regard jettent-ils sur Humains et Bêtes ?
Quatre artistes plasticiennes, quatre femmes animent cette exposition. Comment créer quand on est femme au XXeme siècle ? Comment créer face à un système défavorable ? La réponse de chacune d'elles fut différente.
Les Fêtes Galantes : Watteau, peintre génial, les a créées au XVIIIème siècle. Paul Verlaine, poète magicien, les a chantées au XIXème. Depuis, elles ne cessent d'inspirer les artistes et d'enchanter leurs mondes imaginaires.
Miloje Todorovitch cherche à restituer les impressions sensorielles et émotionnelles que suscite en lui la contemplation du monde végétal et minéral. Cet artiste d'origine serbe peint des forêts abstraites aux troncs sinueux ou des montagnes aux lignes arrondies. Ses œuvres sont tous conçues pour inviter leur spectateur à une plongée intime dans le rêve et l’introspection.
On est Fluxus ou on ne l'est pas. Fluxus, c'est un rythme, un appétit vorace, une joie d'exister. D'ailleurs, c'est très simple, vous êtes Fluxus. Vous ne le saviez pas ? Mais c'est cela aussi être Fluxus. Ne pas savoir qu'on est Fluxus, c'est la meilleure façon de l'être. Venez découvrir l'attitude Fluxus : Fluxus, c'est Tout !
Andrée Pollier (1915-2009) est une figure du mouvement surréaliste de la seconde moitié du XXème siècle. Une influence quasi hypnotique se dégage de ses œuvres.
André Lalaume-Dupré emploie des points en relief, des grumeaux de matière picturale. Henri Darnaud se consacre à la touche fragmentaire, point ou trait de couleur et travaille sur des compositions plus abstraites.
L'œuvre, radieuse, de Denis Geoffroy-Dechaume se distingue par la luminosité apaisante qui l'habite. Subtil paysagiste, il se consacre à la création d’une atmosphère délicate.
Peindre le visage d'un artiste c'est peindre les traits de son visage. Mais aussi donner des clés pour percevoir en quoi son art, sa façon de peindre lui "colle à la peau".
Créer une nouvelle forme de représentation de l'œuvre sculptée, voilà la démarche novatrice que Henry de Waroquier (1881-1970) entama au milieu des années Trente. Cela fait de lui un des pionniers de ce mouvement qu’en art contemporain on connaît sous le nom d’art éphémère.
On pense souvent qu’il est impossible de se procurer une œuvre originale de Picasso Braque Matisse ou Delacroix, bref d’un Grand Maître. C’est une idée fausse. Toutes leurs œuvres originales ne sont pas hors de prix ni réservées aux musées ou riches collectionneurs.
Les pulsions humaines les plus intenses sont l'objet de représentations artistiques. Troublantes souvent, intrigantes toujours, perturbantes parfois.
Il y a quelque chose de magique dans le dessin : une feuille de papier, quelques traits de crayon suffisent à créer la vie, à changer l’ennui d’une surface plate en un vivant morceau de réalité.